lundi 29 décembre 2008

Les 3 Médecines.

La première médecine, c 'est celle que nous avons appris et que nous enseignons : la médecine traditionnelle des signes ou symptômes jusqu'aux traitements des maladies les plus complexes. Les excès de cette
première médecine sont de plus en plus mal perçus par les malades qui se sentent plus souvent objets que sujets.

La deuxième médecine est représentée par les « médecines douces » avec la naturopathie et l'homéopathie *. Celle-ci utilise des médicaments à des doses « très faibles et même extrêmement petites ». L'homéopathie * est opposée à l'allopathie qui est la première et la plus ancienne médecine.

La troisième, c'est l'alimentation.

Jean Seignalet nous fait prendre justement conscience que notre alimentation est une véritable médecine, avec ses bases historiques et scientifiques : anatomiques, physiologiques... N'est-ce pas les calories, l'azote, les minéraux et les vitamines qui nous font vivre autant que le coeur, le cerveau ou les reins !

Pourquoi opposer chacune de ces médecines par ses spécialistes et défenseurs ? Serait-il impossible à tout médecin d'avoir les compétences nécessaires à l'exercice de ces trois médecines ? Certainement pas !
A notre avis, ces trois médecines ne s'opposent pas, elles sont essentiellement complémentaires.

Qui oserait dire que les cancérologues sont nombreux parce qu'il y a de plus en plus de cancers et que les espoirs de guérir un cancer du sein ou du cerveau aujourd'hui ne sont pas tellement meilleurs qu'il y a vingt ans !

Notre façon de manger influence notre santé

1) De quelle manière une alimentation mal conçue conduit-elle à certaines
maladies?


2) Quelle est la diététique idéale?

Au départ de troubles aussi variés que la polyarthrite rhumatoïde, le diabète sucré de la maturité, le cancer du sein ou l'asthme, on trouve la nourriture moderne, responsable du passage dans la circulation sanguine de macromolécules bactériennes et alimentaires nocives.

Le retour à une nutrition de type ancestral, la seule qui convient à l'homme, permet d'obtenir des succès aussi nets que fréquents dans une multitude d'affections qui passent pour mystérieuses et peu ou pas curables.

La notion classique d'une diététique quantitative, basée sur le nombre de calories et l'équilibre entre glucides, lipides et protides, est remplacée par un nouveau concept, celui d'une diététique qualitative, fondée sur la structure des molécules.
Il faut écarter celles que l'organisme ne peut pas métaboliser et conserver celles accessibles à l'action de nos enzymes. Cette attitude de bon sens, associée ou non aux médications classiques, est très souvent salvatrice.

"Là où la médecine avait tout essayé, la rigueur de son régime donne des résultats
souvent inespérés..."
. Pr Henri Joyeux